Ottawa – le 13 mai 2022 – Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) a annoncé aujourd’hui que Jessica Pietrzyk, une athlète de dynamophilie, s’est vu imposer une suspension de quatre ans pour une violation des règles antidopage. L’échantillon d’urine de l’athlète, prélevé dans le cadre d’un contrôle du dopage en compétition le 12 février 2022, a révélé la présence de métandiénone (un agent anabolisant interdit) et méthylphénidate (un stimulant spécifié interdit).
Puisque Mme Pietrzyk n’a pas contesté la violation des règles antidopage dans les délais prévus par le Programme canadien antidopage (PCA), la violation, la sanction ainsi que toutes les conséquences proposées ont été confirmées au motif de la présomption de renonciation. Une sanction de quatre ans prenant fin le 3 avril 2026 a été imposée.
Durant la période de la sanction, il est interdit à l’athlète, qui réside à Edmonton en Alberta, de participer à quelque titre que ce soit à un sport signataire du PCA, y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers.
Conformément au règlement 8.4 du PCA, le résumé du dossier du CCES peut être consulté dans le Registre canadien des sanctions antidopage.
À propos du CCES
Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport travaille de façon collaborative afin que les Canadiens vivent des expériences sportives positives. Par ses programmes, le CCES s’attaque aux problèmes d’éthique dans le sport, protège l’intégrité du sport canadien et fait la promotion de Sport pur pour activer le sport axé sur des valeurs, sur le terrain et à l’extérieur. Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) est l’organisme national indépendant à but non lucratif à qui incombe l’administration du Programme canadien antidopage (PCA). Les règles du PCA obligent le CCES à rendre publique toute violation aux règles antidopage. Le CCES reconnaît être subventionné en partie par le gouvernement du Canada. Pour en savoir plus, visitez le cces.ca et suivez-nous sur Twitter, Facebook ou Instagram.